Abdou Benattabou, comme beaucoup d’enfants qui ont grandi en ville, s’est familiarisé avec les animaux grâce à la télévision. Né à Khmisset mais ayant grandi à Rabat
Trois superbes toiles de Fuentes et une collection de dessins, en petit format, de la période Tangéroise seront exposés dans cette nouvelle galerie complétement dédiée à l’artiste. On y retrouve des thématiques «expressionnistes » axée sur la vie, la ville et l’esprit Tanger.
Il faudra désormais compter sur une nouvelle adresse qui célèbre la gastronomie avec des lettres de prestige à Tanger. A partir du mois de juillet, le quartier Brooks accueillera les amoureux de la bonne chère grâce à la réhabilitation heureuse d’une prestigieuse demeure par Mohamed Laroussi qui en a respecté l’esprit de l’époque, en la rénovant intégralement pour la soumettre aux normes de restauration internationales actuelles (avec une capacité d’accueil d’environ 130 places assises en intérieur et près de 200 en extérieur).
Christian Goetghebeur, sillonne les rues de Tanger depuis une quinzaine d’années avec son appareil photographique. Pour sa première exposition dans la ville, il nous fait voyager dans des univers inattendus et souvent insolites
Artiste autodidacte née en 1972 à Safi au Maroc, Aïcha Aboutaleb a inventé son propre style par l’utilisation de jet de seringue qu’elle projette ensuite sur la toile.
Un programme riche et diversifié se présente aux enfants âgés de 5 ans à 17 ans.
Avoir l’opportunité de grimperet apprendre à naviguer une voile, surfer une toute première vague ou découvrir les sublimes fonds marins de la magnifique baie de Tanger en une semaine, est maintenant possible avec le programme in
Donabo Gardens – les Jardins de Donabo – ont été créés à l’initiative de Malika El Alaoui, tangéroise de naissance, et de l’artiste britannique Paul Belvoir.
Articles récents
Abdou Benattabou, comme beaucoup d’enfants qui ont grandi en ville, s’est familiarisé avec les animaux grâce à la télévision. Né à Khmisset mais ayant grandi à Rabat
Trois superbes toiles de Fuentes et une collection de dessins, en petit format, de la période Tangéroise seront exposés dans cette nouvelle galerie complétement dédiée à l’artiste. On y retrouve des thématiques «expressionnistes » axée sur la vie, la ville et l’esprit Tanger.
Il faudra désormais compter sur une nouvelle adresse qui célèbre la gastronomie avec des lettres de prestige à Tanger. A partir du mois de juillet, le quartier Brooks accueillera les amoureux de la bonne chère grâce à la réhabilitation heureuse d’une prestigieuse demeure par Mohamed Laroussi qui en a respecté l’esprit de l’époque, en la rénovant intégralement pour la soumettre aux normes de restauration internationales actuelles (avec une capacité d’accueil d’environ 130 places assises en intérieur et près de 200 en extérieur).

ÉVÉNEMENTS
Un programme riche et diversifié se présente aux enfants âgés de 5 ans à 17 ans.
Avoir l’opportunité de grimperet apprendre à naviguer une voile, surfer une toute première vague ou découvrir les sublimes fonds marins de la magnifique baie de Tanger en une semaine, est maintenant possible avec le programme in
C’est entre le 21 mai et le 20 juin que la Gallery Kent accueille entre ses murs les œuvres de Simohamed FETTAKA, qui souhaite les briser au même titre que les frontières. Casser les lignes, les codes, les évidences l’artiste livre une œuvre qui souhaite à la fois briser et rallier les territoires où à Tanger, on dirait le Sud, un « territoire » cosmopolite, fédérateur mais aussi divisé. Au travers de créations polymorphes, il « n’aime pas les pays mais les cartes » qui sont pour lui des lignes qu’il souhaite rendre invisibles.
Dans le cadre du Salon du Livre, nous vous annonçons l’évènement de ce printemps. Il amène avec lui un vent nouveau et a mobilisé l’intervention de grands artistes locaux et d’autres horizons. Ce mois célébrera la joie de la saison des amours, du retour du soleil et la fraîcheur de nouveaux départs. Cette réunion se veut exceptionnelle et s’adressera à tous les publics. Ce que nous donnerons à voir est non seulement une pierre à l’édifice du paysage culturel tangérois mais également une collection artistique inédite de ce territoire cosmopolite.
ARTS
Musicien, Interprète, Producteur, compositeur et professeur de luth, Younes Fakhar est né à Tanger en 1985, dans une famille du sud du Maroc, Ouarzazate. En 1997, il intègre le conservatoire de musique de Tanger, où il partagera quelques années plus tard avec ses élèves sa passion pour le luth.
Un happening textuel et vocal où toute proposition, réaction du public est immédiatement inscrite dans le spectacle. Au micro, Arthur Ribo, virtuose du verbe, est tour à tour poète, conteur et « improvis’auteur ».
Il nous entraîne sans filet, dans un récit dont lui seul connaît les détours. Toujours drôle et sensible. Arthur RIBO est aussi doué dans l’art de déverser les mots que dans celui d’improviser des histoires. Un « freestyler » à l’imagination débridée, capable de transcender le langage en un claquement de doigts.
C’est entre le 21 mai et le 20 juin que la Gallery Kent accueille entre ses murs les œuvres de Simohamed FETTAKA, qui souhaite les briser au même titre que les frontières. Casser les lignes, les codes, les évidences l’artiste livre une œuvre qui souhaite à la fois briser et rallier les territoires où à Tanger, on dirait le Sud, un « territoire » cosmopolite, fédérateur mais aussi divisé. Au travers de créations polymorphes, il « n’aime pas les pays mais les cartes » qui sont pour lui des lignes qu’il souhaite rendre invisibles.
La librairie/galerie les insolites est le seul espace à Tanger qui propose depuis 12 ans de la littérature de qualité et un espace d’exposition pour les artistes qui s’expriment sur papier. Chaque mois, des rencontres/dédicaces sont organisées sur place ou hors les murs et permettent de découvrir les grandes voix de la culture, aussi bien au Maroc qu’audelà de la Méditerranée.
LEILA ALAOUI, une traversée de l’œuvre Trop tôt disparue, Leila Alaoui laisse derrière elle un travail marqué par le souci de l’autre, la curiosité pour l’ailleurs, la volonté de témoigner de son époque. Elle a ainsi livré une série deportraits d’artistes marocains aussi bien que, au croisement du photoreportage et de la photographie humaniste, des images des déshérités de Jordanie et du Maroc, de réfugiés syriens au Liban.
Native de Tanger, après avoir poursuivi ses études supérieures à l’Institut Supérieur International du Tourisme, elle se consacra pendant plusieurs années à l’industrie du tourisme. Passionnée de voyage dans toute sa forme, elle enchaîna des études de sophrologie et fit la découverte de la peinture qui devint vite un moyen d’expression et de connexion. Autodidacte, sa peinture est libre de toutes écoles particulières. Néanmoins, elle vire vers la calligraphie et plus particulièrement la lettre arabe dans toute sa subtilité et sa splendeur. Elle est d’ailleurs présente dans la majorité de ses œuvres comme entité existentielle qui renvoie à elle-même à une multitude de combinaisons multidimensionnelles.
Gastronomie
Il faudra désormais compter sur une nouvelle adresse qui célèbre la gastronomie avec des lettres de prestige à Tanger. A partir du mois de juillet, le quartier Brooks accueillera les amoureux de la bonne chère grâce à la réhabilitation heureuse d’une prestigieuse demeure par Mohamed Laroussi qui en a respecté l’esprit de l’époque, en la rénovant intégralement pour la soumettre aux normes de restauration internationales actuelles (avec une capacité d’accueil d’environ 130 places assises en intérieur et près de 200 en extérieur).
Le patrimoine culturel des peuples en ce qui concerne les cuisines populaires et familiales dans son ancestralité est en danger. La facilité d’accès aux cuisines importées, rapides, bon marché, acceptées sans aucune évaluation objective de leurs qualités réelles met en péril la transmission des recettes ancestrales demandant beaucoup de produits spécifiques et de savoir-faire.
Culture
Trois superbes toiles de Fuentes et une collection de dessins, en petit format, de la période Tangéroise seront exposés dans cette nouvelle galerie complétement dédiée à l’artiste. On y retrouve des thématiques «expressionnistes » axée sur la vie, la ville et l’esprit Tanger.
L’auteure Rita Stirn-Wagner a effectué un périple de plusieurs années de Tanger
aux montagnes de l’Atlas jusqu’au Sahara, pour aller à la rencontre des muses
du Maroc. Elle nous offre des portraits choisis de chanteuses et musiciennes qui
ont en commun leur courage, leur audace et leur talent musical. C’est un vibrant
hommage au travail artistique des femmes et à leur passion pour la musique.
La traduction de ces portraits de femmes d’exception en arabe et en anglais leur
offre une visibilité nationale et internationale.
Après une longue carrière en finance, Nazha CHERKAOUI native de Rabat, se lance dans l’entreprenariat et crée la marque «Brok’Art_signature», avec un slogan « l’art d’innover l’ancien et de métisser les cultures».
Enfin Tanger, la porte de l’Afrique, retrouve les lettres et les notes de musique après deux ans d’interruption.
Enfin la ville du détroit renouvelle ses retrouvailles avec écrivains, poètes et musiciens au masculin comme au
féminin, venus des deux rives de la Méditerranée. Pour ces journées tangéroises, les éditeurs marocains sont
au rendez-vous tout comme le public, dans le magnifique Palais Moulay Hafid et son jardin.
L’exposition « Les Couleurs du Temps » présente plusieurs exemples d’exception de ces photographies colorisées, depuis les vues du Japon des années 1860 en passant par les costumes chatoyants de Syrie immortalisés par Ludovico Wolfgang Hart peu de temps après,et surtout un grand ensemble de portraits tangérois des années 1960, issus de studios photographiques aujourd’hui disparus.
Un artiste né le 25 février 1992 à Arles. Il a étudié aux beaux-arts de Nîmes pendant une année puis a continué ses études aux beaux-arts de Marseille où il a obtenu son DNSEP. Sa pratique se déploie autour d’objets filmiques, sonores et sculpturales, ces questionnements quant à eux explorent des pistes anthropologiques et sociologiques contemporaines. Il a exposé à la Friche de la Belle de Mai, au Château de Servières et à la Galerie de la Scep à Marseille et montrera prochainement son film « La loi du plus fort » à l’occasion du festival « les chichas de la pensée » aux Magasins généraux à Pantin. Il a intégré les ateliers de la ville de Marseille en août 2021 pour une durée de 23 mois.