C’est entre le 21 mai et le 20 juin que la Gallery Kent accueille entre ses murs les œuvres de Simohamed FETTAKA, qui souhaite les briser au même titre que les frontières. Casser les lignes, les codes, les évidences l’artiste livre une œuvre qui souhaite à la fois briser et rallier les territoires où à Tanger, on dirait le Sud, un « territoire » cosmopolite, fédérateur mais aussi divisé. Au travers de créations polymorphes, il « n’aime pas les pays mais les cartes » qui sont pour lui des lignes qu’il souhaite rendre invisibles.
Homepage articles
Dans le cadre du Salon du Livre, nous vous annonçons l’évènement de ce printemps. Il amène avec lui un vent nouveau et a mobilisé l’intervention de grands artistes locaux et d’autres horizons. Ce mois célébrera la joie de la saison des amours, du retour du soleil et la fraîcheur de nouveaux départs. Cette réunion se veut exceptionnelle et s’adressera à tous les publics. Ce que nous donnerons à voir est non seulement une pierre à l’édifice du paysage culturel tangérois mais également une collection artistique inédite de ce territoire cosmopolite.
LEILA ALAOUI, une traversée de l’œuvre Trop tôt disparue, Leila Alaoui laisse derrière elle un travail marqué par le souci de l’autre, la curiosité pour l’ailleurs, la volonté de témoigner de son époque. Elle a ainsi livré une série deportraits d’artistes marocains aussi bien que, au croisement du photoreportage et de la photographie humaniste, des images des déshérités de Jordanie et du Maroc, de réfugiés syriens au Liban.
C’est entre le 21 mai et le 20 juin que la Gallery Kent accueille entre ses murs les œuvres de Simohamed FETTAKA, qui souhaite les briser au même titre que les frontières. Casser les lignes, les codes, les évidences l’artiste livre une œuvre qui souhaite à la fois briser et rallier les territoires où à Tanger, on dirait le Sud, un « territoire » cosmopolite, fédérateur mais aussi divisé. Au travers de créations polymorphes, il « n’aime pas les pays mais les cartes » qui sont pour lui des lignes qu’il souhaite rendre invisibles.
Native de Tanger, après avoir poursuivi ses études supérieures à l’Institut Supérieur International du Tourisme, elle se consacra pendant plusieurs années à l’industrie du tourisme. Passionnée de voyage dans toute sa forme, elle enchaîna des études de sophrologie et fit la découverte de la peinture qui devint vite un moyen d’expression et de connexion. Autodidacte, sa peinture est libre de toutes écoles particulières. Néanmoins, elle vire vers la calligraphie et plus particulièrement la lettre arabe dans toute sa subtilité et sa splendeur. Elle est d’ailleurs présente dans la majorité de ses œuvres comme entité existentielle qui renvoie à elle-même à une multitude de combinaisons multidimensionnelles.
Un artiste né le 25 février 1992 à Arles. Il a étudié aux beaux-arts de Nîmes pendant une année puis a continué ses études aux beaux-arts de Marseille où il a obtenu son DNSEP. Sa pratique se déploie autour d’objets filmiques, sonores et sculpturales, ces questionnements quant à eux explorent des pistes anthropologiques et sociologiques contemporaines. Il a exposé à la Friche de la Belle de Mai, au Château de Servières et à la Galerie de la Scep à Marseille et montrera prochainement son film « La loi du plus fort » à l’occasion du festival « les chichas de la pensée » aux Magasins généraux à Pantin. Il a intégré les ateliers de la ville de Marseille en août 2021 pour une durée de 23 mois.
L e Cinéma Alcazar rouvre ses portes ; cette salle mythique du début du 20eme siècle a commencé par prêter ses planches aux troupes de théâtre avant d’être une salle de cinéma incontournable pour tous les cinéphiles autochtones ou de passage à Tanger.
Dans le cadre du programme de réhabilitation et de valorisation de l’ancienne médina de Tanger, les travaux ont porté sur la restauration du bâtiment, de la façade et de la salle de projection principale, l’acquisition d’équipements modernes pour la projection de films, et l’aménagement d’un espace d’exposition des instruments cinématographiques antiques et d’anciennes affiches des plus grands films du cinéma mondial qui ont été projetés dans cette salle de cinéma.
Au cours de l’année dernière, alors que la plupart des pays ont connu des périodes de confinement les gens ont dû limiter leur temps passé à l’extérieur. Les livres se sont avérés être des outils puissants pour combattre l’isolement, renforcer les liens entre les personnes, élargir nos horizons, tout en stimulant notre esprit et notre créativité. Dans certains pays, le nombre de livres lus a doublé.
L’institut Français de Tanger invite neuf artistes tangérois à dire leurs récits du monde. L’exposition se déroulera à la Galerie Delacroix du 26 mars au 08 mai 2022 et permettra de présenter un panorama de la peinture actuelle inspirée par la Perle du détroit. Ce sont neuf plasticiens nés ou vivants à Tanger, 5 hommes et 4 femmes de tous âges, qui présentent leurs œuvres durant l’événement CRÉ A’ nord, du 26 mars au 08 mai 2022, à la Galerie Delacroix. L’enjeu de cette exposition est de dévoiler ce que Tanger, cité mythique, engendre comme richesse créative. Entre les beautés fragiles de Yasmina Ziyat, le burlesque ironique d’Azzedine Doukari, les abstractions inquiètes de Mohamed Debdoubi, les couleurs joyeuses de Rahima el Arroud ou celles flamboyantes de Khalid Mrabet, l’expressionnisme désespéré d’Abdellatif Mehdi, les contemplations étrangement sereines d’Houda Terjumann, les mystères émergents d’Itaf Benjelloun ou ceux extatiques de Youssef Tamli, c’est une diversité de richesses artistiques, de parcours et d’expressions que découvrira le public dans une « Confluence de regards »
Dans le cadre du programme de réhabilitation et de valorisation de l’ancienne médina de Tanger, les travaux ont porté sur la restauration du bâtiment, de la façade et de la salle de projection principale, l’acquisition d’équipements modernes pour la projection de films, et l’aménagement d’un espace d’exposition des instruments cinématographiques antiques et d’anciennes affiches des plus grands films du cinéma mondial qui ont été projetés dans cette salle de cinéma.
Pour sa 3e édition, l’exposition des artistes récemment diplômés de l’INBA Tétouan qui s’invitent à Tanger, se déploie doublement à la galerie Kent et à l’espace culturel Cervantes. D’ores-et-déjà certifié comme le vivier artistique le plus prolifique du pays depuis les années 2000, l’INBA est représenté par un groupe de jeune artistes notamment issus de l’atelier de l’artiste Batoul S’Himi, où se mêlent pratiques de l’installation, de la performance, du dessin… Paradoxalement à leur affiliation avec l’école et le contexte pédagogique, l’exposition présente ces artistes à un stade très particulier de leur développement : tout juste diplômés donc libérés de toute obligation, en un mot prêts pour une nouvelle vie ou plutôt une « Second life » : la vie d’étudiant une fois accomplie, s’ouvrent tous les possibles (comme dans le jeu vidéo de réalité virtuelle où chacun peut imaginer sa vie « from scratch »). Tout ne fait pour eux que commencer, d’ores et-déjà immergés qu’ils/elles sont dans les problématiques de la « vie d’artiste »,