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06 Jun: Avec le regard de Rita: la 24ème Édition du Salon du Livre de tanger

Enfin Tanger, la porte de l’Afrique, retrouve les lettres et les notes de musique après deux ans d’interruption.
Enfin la ville du détroit renouvelle ses retrouvailles avec écrivains, poètes et musiciens au masculin comme au
féminin, venus des deux rives de la Méditerranée. Pour ces journées tangéroises, les éditeurs marocains sont
au rendez-vous tout comme le public, dans le magnifique Palais Moulay Hafid et son jardin.

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03 Jun: Letra A Letra

L’exposition « Les Couleurs du Temps » présente plusieurs exemples d’exception de ces photographies colorisées, depuis les vues du Japon des années 1860 en passant par les costumes chatoyants de Syrie immortalisés par Ludovico Wolfgang Hart peu de temps après,et surtout un grand ensemble de portraits tangérois des années 1960, issus de studios photographiques aujourd’hui disparus.

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02 Jun: ARTISTE DU MOIS JUIN

Musicien, Interprète, Producteur, compositeur et professeur de luth, Younes Fakhar est né à Tanger en 1985, dans une famille du sud du Maroc, Ouarzazate. En 1997, il intègre le conservatoire de musique de Tanger, où il partagera quelques années plus tard avec ses élèves sa passion pour le luth.

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02 Jun: LE CONCERT DONT VOUS ETES L’AUTEUR

Un happening textuel et vocal où toute proposition, réaction du public est immédiatement inscrite dans le spectacle. Au micro, Arthur Ribo, virtuose du verbe, est tour à tour poète, conteur et « improvis’auteur ».
Il nous entraîne sans filet, dans un récit dont lui seul connaît les détours. Toujours drôle et sensible. Arthur RIBO est aussi doué dans l’art de déverser les mots que dans celui d’improviser des histoires. Un « freestyler » à l’imagination débridée, capable de transcender le langage en un claquement de doigts.

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11 May: Styliste du mois : Zoubida Sbai

Un artiste né le 25 février 1992 à Arles. Il a étudié aux beaux-arts de Nîmes pendant une année puis a continué ses études aux beaux-arts de Marseille où il a obtenu son DNSEP. Sa pratique se déploie autour d’objets filmiques, sonores et sculpturales, ces questionnements quant à eux explorent des pistes anthropologiques et sociologiques contemporaines. Il a exposé à la Friche de la Belle de Mai, au Château de Servières et à la Galerie de la Scep à Marseille et montrera prochainement son film « La loi du plus fort » à l’occasion du festival « les chichas de la pensée » aux Magasins généraux à Pantin. Il a intégré les ateliers de la ville de Marseille en août 2021 pour une durée de 23 mois.

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11 May: Une épidémie est passée et FESTI est de retour

C’est entre le 21 mai et le 20 juin que la Gallery Kent accueille entre ses murs les œuvres de Simohamed FETTAKA, qui souhaite les briser au même titre que les frontières. Casser les lignes, les codes, les évidences l’artiste livre une œuvre qui souhaite à la fois briser et rallier les territoires où à Tanger, on dirait le Sud, un « territoire » cosmopolite, fédérateur mais aussi divisé. Au travers de créations polymorphes, il « n’aime pas les pays mais les cartes » qui sont pour lui des lignes qu’il souhaite rendre invisibles.

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11 May: Le phare Cap Spartel, une lumière qui éclaire le Détroit de Gibraltar

C’est entre le 21 mai et le 20 juin que la Gallery Kent accueille entre ses murs les œuvres de Simohamed FETTAKA, qui souhaite les briser au même titre que les frontières. Casser les lignes, les codes, les évidences l’artiste livre une œuvre qui souhaite à la fois briser et rallier les territoires où à Tanger, on dirait le Sud, un « territoire » cosmopolite, fédérateur mais aussi divisé. Au travers de créations polymorphes, il « n’aime pas les pays mais les cartes » qui sont pour lui des lignes qu’il souhaite rendre invisibles.