Vernissage de l’exposition « Hana » d’Ilias Selfati et rencontre avec Mahi Binebine autour de son dernier roman Mon frère fantôme, éditions Le Fenec, en collaboration avec la librairie-galerie Les Insolites,
ÉVÉNEMENT
Christian Goetghebeur, sillonne les rues de Tanger depuis une quinzaine d’années avec son appareil photographique. Pour sa première exposition dans la ville, il nous fait voyager dans des univers inattendus et souvent insolites
Artiste autodidacte née en 1972 à Safi au Maroc, Aïcha Aboutaleb a inventé son propre style par l’utilisation de jet de seringue qu’elle projette ensuite sur la toile.
Un programme riche et diversifié se présente aux enfants âgés de 5 ans à 17 ans.
Avoir l’opportunité de grimperet apprendre à naviguer une voile, surfer une toute première vague ou découvrir les sublimes fonds marins de la magnifique baie de Tanger en une semaine, est maintenant possible avec le programme in
Donabo Gardens – les Jardins de Donabo – ont été créés à l’initiative de Malika El Alaoui, tangéroise de naissance, et de l’artiste britannique Paul Belvoir.
Programme Fitness, Nutrition et mode de vie pour la femme enciente
Avant : objectif de suivi en projet de grossesse
Pendant : objectif de suivi durant la grossesse
après : objectif de suivi après l’accouchement
C’est entre le 21 mai et le 20 juin que la Gallery Kent accueille entre ses murs les œuvres de Simohamed FETTAKA, qui souhaite les briser au même titre que les frontières. Casser les lignes, les codes, les évidences l’artiste livre une œuvre qui souhaite à la fois briser et rallier les territoires où à Tanger, on dirait le Sud, un « territoire » cosmopolite, fédérateur mais aussi divisé. Au travers de créations polymorphes, il « n’aime pas les pays mais les cartes » qui sont pour lui des lignes qu’il souhaite rendre invisibles.
Dans le cadre du Salon du Livre, nous vous annonçons l’évènement de ce printemps. Il amène avec lui un vent nouveau et a mobilisé l’intervention de grands artistes locaux et d’autres horizons. Ce mois célébrera la joie de la saison des amours, du retour du soleil et la fraîcheur de nouveaux départs. Cette réunion se veut exceptionnelle et s’adressera à tous les publics. Ce que nous donnerons à voir est non seulement une pierre à l’édifice du paysage culturel tangérois mais également une collection artistique inédite de ce territoire cosmopolite.
C’est entre le 21 mai et le 20 juin que la Gallery Kent accueille entre ses murs les œuvres de Simohamed FETTAKA, qui souhaite les briser au même titre que les frontières. Casser les lignes, les codes, les évidences l’artiste livre une œuvre qui souhaite à la fois briser et rallier les territoires où à Tanger, on dirait le Sud, un « territoire » cosmopolite, fédérateur mais aussi divisé. Au travers de créations polymorphes, il « n’aime pas les pays mais les cartes » qui sont pour lui des lignes qu’il souhaite rendre invisibles.
Un artiste né le 25 février 1992 à Arles. Il a étudié aux beaux-arts de Nîmes pendant une année puis a continué ses études aux beaux-arts de Marseille où il a obtenu son DNSEP. Sa pratique se déploie autour d’objets filmiques, sonores et sculpturales, ces questionnements quant à eux explorent des pistes anthropologiques et sociologiques contemporaines. Il a exposé à la Friche de la Belle de Mai, au Château de Servières et à la Galerie de la Scep à Marseille et montrera prochainement son film « La loi du plus fort » à l’occasion du festival « les chichas de la pensée » aux Magasins généraux à Pantin. Il a intégré les ateliers de la ville de Marseille en août 2021 pour une durée de 23 mois.