Trois superbes toiles de Fuentes et une collection de dessins, en petit format, de la période Tangéroise seront exposés dans cette nouvelle galerie complétement dédiée à l’artiste. On y retrouve des thématiques «expressionnistes » axée sur la vie, la ville et l’esprit Tanger.
CULTURE
L’auteure Rita Stirn-Wagner a effectué un périple de plusieurs années de Tanger
aux montagnes de l’Atlas jusqu’au Sahara, pour aller à la rencontre des muses
du Maroc. Elle nous offre des portraits choisis de chanteuses et musiciennes qui
ont en commun leur courage, leur audace et leur talent musical. C’est un vibrant
hommage au travail artistique des femmes et à leur passion pour la musique.
La traduction de ces portraits de femmes d’exception en arabe et en anglais leur
offre une visibilité nationale et internationale.
Après une longue carrière en finance, Nazha CHERKAOUI native de Rabat, se lance dans l’entreprenariat et crée la marque «Brok’Art_signature», avec un slogan « l’art d’innover l’ancien et de métisser les cultures».
Enfin Tanger, la porte de l’Afrique, retrouve les lettres et les notes de musique après deux ans d’interruption.
Enfin la ville du détroit renouvelle ses retrouvailles avec écrivains, poètes et musiciens au masculin comme au
féminin, venus des deux rives de la Méditerranée. Pour ces journées tangéroises, les éditeurs marocains sont
au rendez-vous tout comme le public, dans le magnifique Palais Moulay Hafid et son jardin.
L’exposition « Les Couleurs du Temps » présente plusieurs exemples d’exception de ces photographies colorisées, depuis les vues du Japon des années 1860 en passant par les costumes chatoyants de Syrie immortalisés par Ludovico Wolfgang Hart peu de temps après,et surtout un grand ensemble de portraits tangérois des années 1960, issus de studios photographiques aujourd’hui disparus.
Un artiste né le 25 février 1992 à Arles. Il a étudié aux beaux-arts de Nîmes pendant une année puis a continué ses études aux beaux-arts de Marseille où il a obtenu son DNSEP. Sa pratique se déploie autour d’objets filmiques, sonores et sculpturales, ces questionnements quant à eux explorent des pistes anthropologiques et sociologiques contemporaines. Il a exposé à la Friche de la Belle de Mai, au Château de Servières et à la Galerie de la Scep à Marseille et montrera prochainement son film « La loi du plus fort » à l’occasion du festival « les chichas de la pensée » aux Magasins généraux à Pantin. Il a intégré les ateliers de la ville de Marseille en août 2021 pour une durée de 23 mois.