Pour sa 3e édition, l’exposition des artistes récemment diplômés de l’INBA Tétouan qui s’invitent à Tanger, se déploie doublement à la galerie Kent et à l’espace culturel Cervantes. D’ores-et-déjà certifié comme le vivier artistique le plus prolifique du pays depuis les années 2000, l’INBA est représenté par un groupe de jeune artistes notamment issus de l’atelier de l’artiste Batoul S’Himi, où se mêlent pratiques de l’installation, de la performance, du dessin… Paradoxalement à leur affiliation avec l’école et le contexte pédagogique, l’exposition présente ces artistes à un stade très particulier de leur développement : tout juste diplômés donc libérés de toute obligation, en un mot prêts pour une nouvelle vie ou plutôt une « Second life » : la vie d’étudiant une fois accomplie, s’ouvrent tous les possibles (comme dans le jeu vidéo de réalité virtuelle où chacun peut imaginer sa vie « from scratch »). Tout ne fait pour eux que commencer, d’ores et-déjà immergés qu’ils/elles sont dans les problématiques de la « vie d’artiste »,
ARTS
Au cours de l’année dernière, alors que la plupart des pays ont connu des périodes de confinement les gens ont dû limiter leur temps passé à l’extérieur. Les livres se sont avérés être des outils puissants pour combattre l’isolement, renforcer les liens entre les personnes, élargir nos horizons, tout en stimulant notre esprit et notre créativité. Dans certains pays, le nombre de livres lus a doublé.