Le patrimoine culturel des peuples en ce qui concerne les cuisines populaires et familiales dans son ancestralité est en danger. La facilité d’accès aux cuisines importées, rapides, bon marché, acceptées sans aucune évaluation objective de leurs qualités réelles met en péril la transmission des recettes ancestrales demandant beaucoup de produits spécifiques et de savoir-faire.
LAST ARTCILES
Un artiste né le 25 février 1992 à Arles. Il a étudié aux beaux-arts de Nîmes pendant une année puis a continué ses études aux beaux-arts de Marseille où il a obtenu son DNSEP. Sa pratique se déploie autour d’objets filmiques, sonores et sculpturales, ces questionnements quant à eux explorent des pistes anthropologiques et sociologiques contemporaines. Il a exposé à la Friche de la Belle de Mai, au Château de Servières et à la Galerie de la Scep à Marseille et montrera prochainement son film « La loi du plus fort » à l’occasion du festival « les chichas de la pensée » aux Magasins généraux à Pantin. Il a intégré les ateliers de la ville de Marseille en août 2021 pour une durée de 23 mois.
Au cours de l’année dernière, alors que la plupart des pays ont connu des périodes de confinement les gens ont dû limiter leur temps passé à l’extérieur. Les livres se sont avérés être des outils puissants pour combattre l’isolement, renforcer les liens entre les personnes, élargir nos horizons, tout en stimulant notre esprit et notre créativité. Dans certains pays, le nombre de livres lus a doublé.
L’institut Français de Tanger invite neuf artistes tangérois à dire leurs récits du monde. L’exposition se déroulera à la Galerie Delacroix du 26 mars au 08 mai 2022 et permettra de présenter un panorama de la peinture actuelle inspirée par la Perle du détroit. Ce sont neuf plasticiens nés ou vivants à Tanger, 5 hommes et 4 femmes de tous âges, qui présentent leurs œuvres durant l’événement CRÉ A’ nord, du 26 mars au 08 mai 2022, à la Galerie Delacroix. L’enjeu de cette exposition est de dévoiler ce que Tanger, cité mythique, engendre comme richesse créative. Entre les beautés fragiles de Yasmina Ziyat, le burlesque ironique d’Azzedine Doukari, les abstractions inquiètes de Mohamed Debdoubi, les couleurs joyeuses de Rahima el Arroud ou celles flamboyantes de Khalid Mrabet, l’expressionnisme désespéré d’Abdellatif Mehdi, les contemplations étrangement sereines d’Houda Terjumann, les mystères émergents d’Itaf Benjelloun ou ceux extatiques de Youssef Tamli, c’est une diversité de richesses artistiques, de parcours et d’expressions que découvrira le public dans une « Confluence de regards »
Dans le cadre du programme de réhabilitation et de valorisation de l’ancienne médina de Tanger, les travaux ont porté sur la restauration du bâtiment, de la façade et de la salle de projection principale, l’acquisition d’équipements modernes pour la projection de films, et l’aménagement d’un espace d’exposition des instruments cinématographiques antiques et d’anciennes affiches des plus grands films du cinéma mondial qui ont été projetés dans cette salle de cinéma.
Pour sa 3e édition, l’exposition des artistes récemment diplômés de l’INBA Tétouan qui s’invitent à Tanger, se déploie doublement à la galerie Kent et à l’espace culturel Cervantes. D’ores-et-déjà certifié comme le vivier artistique le plus prolifique du pays depuis les années 2000, l’INBA est représenté par un groupe de jeune artistes notamment issus de l’atelier de l’artiste Batoul S’Himi, où se mêlent pratiques de l’installation, de la performance, du dessin… Paradoxalement à leur affiliation avec l’école et le contexte pédagogique, l’exposition présente ces artistes à un stade très particulier de leur développement : tout juste diplômés donc libérés de toute obligation, en un mot prêts pour une nouvelle vie ou plutôt une « Second life » : la vie d’étudiant une fois accomplie, s’ouvrent tous les possibles (comme dans le jeu vidéo de réalité virtuelle où chacun peut imaginer sa vie « from scratch »). Tout ne fait pour eux que commencer, d’ores et-déjà immergés qu’ils/elles sont dans les problématiques de la « vie d’artiste »,
Lorem ipsum dolor sit amet, elit sed dto eiusmod tempor lorem incididunt ut labore enim ad minim veniam, quis nostrud sit exercitation ullamco laboris nisi.
Au cours de l’année dernière, alors que la plupart des pays ont connu des périodes de confinement les gens ont dû limiter leur temps passé à l’extérieur. Les livres se sont avérés être des outils puissants pour combattre l’isolement, renforcer les liens entre les personnes, élargir nos horizons, tout en stimulant notre esprit et notre créativité. Dans certains pays, le nombre de livres lus a doublé.
Dans cette période post-covid, LE POCK’IN prend vie, investi d’une mission d’information pour guider touristes, visiteurs et riverains tout en restant à l’affût de toute actualité, évènement dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma. Nous nourrissons l’ambition de doter la ville de Tanger d’un nouvel agenda mensuel qui facilitera la vie des visiteurs amoureux des plages atlantiques etméditerranéennes, des activités sportives et culturelles, de la gastronomie et des hôtels de charme. Avec un format de poche pratique et une distribution gratuite dans les lieux les plus fréquentés de la région, POCK’IN sera le relais, incontournable, de l’actualité qui fait de Tanger et sa région un haut lieu du tourisme national et international.